Le rôle des cabinets de transactions dans l’achat et la vente de pharmacies

L’achat ou la vente d’une pharmacie est une opération complexe qui nécessite une expertise approfondie du marché officinal. Dans ce contexte, les cabinets de transactions spécialisés jouent un rôle essentiel en accompagnant les pharmaciens tout au long du processus, de l’évaluation de l’officine jusqu’à la finalisation de la transaction. Ce texte met en lumière les principales missions de ces cabinets et leur importance dans la réussite d’une cession ou d’une acquisition.

L’évaluation de l’officine

L’une des premières étapes cruciales d’une transaction est l’évaluation de la pharmacie. Les cabinets spécialisés en transactions de pharmacies réalisent une analyse détaillée en prenant en compte plusieurs critères : chiffre d’affaires, rentabilité, emplacement, état du stock et perspectives de croissance. Ils appliquent différentes méthodes de valorisation, notamment celles basées sur l’EBE (Excédent Brut d’Exploitation) et la Marge Brute Globale, afin d’établir un prix de vente réaliste et attractif.

La recherche d’acquéreurs ou d’officines à vendre

Les cabinets de transactions disposent d’un large réseau de contacts, ce qui leur permet de mettre en relation les vendeurs et les acquéreurs potentiels. Ils diffusent des annonces de manière ciblée, garantissant ainsi une confidentialité optimale aux titulaires souhaitant vendre leur officine. Grâce à leur expertise, ils sélectionnent les candidats les plus sérieux en fonction de leurs profils financiers et professionnels.

L’accompagnement dans le montage financier

Acheter une pharmacie nécessite un investissement conséquent et un montage financier solide. Les cabinets de transactions jouent un rôle clé dans l’accompagnement des acquéreurs en les aidant à structurer leur dossier de financement. Ils facilitent les négociations avec les banques, optimisent les conditions de prêt et conseillent sur les aides financières disponibles (subventions, dispositifs fiscaux, exonérations).

L’expertise juridique et administrative

Une transaction officinale est soumise à de nombreuses obligations réglementaires. Les cabinets de transactions, en collaboration avec les cabinets d’avocats spécialisés, cabinets d’expertises comptables, notaires, inventoristes, assureurs, agenceurs… accompagnent leurs clients dans les démarches administratives : obtention des autorisations auprès de l’ARS (Agence Régionale de Santé), conformité avec les règles de l’Ordre des Pharmaciens, rédaction des actes de cession et gestion des formalités fiscales et sociales. Cette expertise permet d’éviter les erreurs et d’accélérer la finalisation de la vente.

La gestion des négociations

La vente ou l’achat d’une pharmacie implique des négociations complexes entre le cédant et l’acquéreur. Les cabinets spécialisés jouent un rôle de médiateur et facilitent les échanges afin d’aboutir à un accord équilibré pour les deux parties. Ils apportent des conseils stratégiques pour maximiser la valeur de l’officine et garantir une transition harmonieuse.

L’importance stratégique des cabinets de transactions dans le marché officinal

Les cabinets de transactions occupent une place centrale dans l’achat et la vente de pharmacies. Leur expertise en évaluation financière, montage juridique et accompagnement stratégique est un gage de sécurité pour les pharmaciens.  Leur connaissance du marché et leur présence quotidienne auprès des pharmaciens assurent aux acquéreurs une réelle sécurité.

Grâce à leur intervention, les transactions se déroulent dans des conditions optimales, permettant ainsi aux professionnels de la pharmacie de se concentrer pleinement sur leur activité.

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Les pharmacies situées en milieu rural sont confrontées à des défis majeurs liés à la désertification médicale. La diminution du nombre de médecins généralistes, le vieillissement de la population et l’isolement géographique compliquent l’accès aux soins pour de nombreux patients. Face à ces enjeux, les pharmacies rurales doivent adapter leur modèle économique et renforcer leur rôle de professionnel de santé de proximité. Ce texte explore les défis et les solutions pour assurer la pérennité des officines rurales.

La désertification médicale en milieu rural

La désertification médicale désigne la diminution progressive du nombre de professionnels de santé dans certaines zones, rendant l’accès aux soins plus difficile pour les habitants. De nombreuses communes rurales se retrouvent sans médecin généraliste, ce qui impacte directement l’activité des pharmacies locales. Sans prescriptions régulières, l’affluence en officine diminue, mettant en péril leur rentabilité.

L’évolution du rôle du pharmacien rural

Dans ce contexte, le pharmacien devient un acteur central du parcours de soins. Il ne se limite plus à la délivrance de médicaments, mais assure aussi un rôle de conseil et d’orientation des patients vers les structures de soins adaptées. Certains pharmaciens ruraux développent de nouveaux services, comme la téléconsultation en officine, qui permet aux patients d’accéder à un médecin à distance sans avoir à parcourir de longues distances.

Le développement des nouveaux services en officine

Pour compenser la baisse de fréquentation liée au manque de médecins, de nombreuses pharmacies rurales diversifient leurs activités. Elles proposent désormais des services tels que la vaccination, les tests de dépistage rapide (TROD), la préparation des doses à administrer (PDA) pour les patients âgés et dépendants, ou encore le suivi des maladies chroniques. Ces services renforcent le rôle du pharmacien comme acteur clé du système de santé local.

Les difficultés économiques et les solutions de financement

Le manque de patients et la baisse du volume de ventes de médicaments impactent directement la rentabilité des pharmacies rurales, ce qui pousse certains pharmaciens à envisager la fermeture de leur officine. Pour pallier cette situation, des aides spécifiques ont été mises en place, notamment des exonérations fiscales pour les officines situées en zones prioritaires (ZFRR , anciennement ZRR).

L’importance des collaborations avec les collectivités locales

Les collectivités locales ont un rôle clé à jouer dans le maintien des pharmacies rurales. Certaines communes mettent en place des initiatives pour attirer de nouveaux professionnels de santé, comme la création de maisons de santé pluridisciplinaires regroupant médecins, infirmiers et pharmaciens. Ces collaborations permettent de garantir une offre de soins minimale et de redynamiser l’attractivité du territoire.

La digitalisation pour améliorer l’accès aux soins

Le numérique est un levier essentiel pour compenser l’absence de médecins dans certaines zones. Outre la téléconsultation, les pharmacies rurales s’équipent de solutions de gestion connectées permettant une meilleure coordination des soins avec les autres professionnels de santé. Certaines officines proposent également des applications mobiles permettant aux patients de commander leurs médicaments en ligne et de bénéficier d’un suivi à distance.

Les pharmacies rurales : innover et s’adapter pour survivre à la désertification médicale

Les pharmacies rurales font face à un défi majeur avec la désertification médicale, mais elles ont aussi l’opportunité de réinventer leur rôle au sein du parcours de soins. En développant de nouveaux services, en s’appuyant sur les technologies numériques et en collaborant avec les collectivités locales, elles peuvent continuer à jouer un rôle essentiel dans l’accès aux soins des populations isolées. L’avenir des pharmacies rurales repose sur leur capacité à s’adapter et à innover pour répondre aux besoins spécifiques de leurs patients.

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L’évolution du secteur pharmaceutique est marquée par de profondes transformations économiques, technologiques et sociétales. Entre digitalisation, diversification des services et mutations réglementaires, les pharmacies doivent sans cesse s’adapter pour rester compétitives et répondre aux nouvelles attentes des patients. Ce texte explore les principales tendances qui dessinent l’avenir des officines et les perspectives d’évolution du métier de pharmacien.

La diversification des services pour renforcer le rôle du pharmacien

Face à une concurrence accrue et à l’évolution des besoins des patients, les officines élargissent leurs missions. Au-delà de la délivrance des médicaments, elles se positionnent désormais comme des centres de santé de proximité proposant des services complémentaires. La généralisation de la vaccination en pharmacie et la réalisation de tests de dépistage rapide renforcent leur rôle dans la prévention des maladies infectieuses. L’accompagnement des patients atteints de maladies chroniques prend également une place centrale, notamment à travers les entretiens pharmaceutiques pour les diabétiques, hypertendus ou asthmatiques, qui permettent un suivi personnalisé et améliorent l’observance des traitements. Pour pallier le manque de médecins dans certaines zones, les pharmacies intègrent des espaces dédiés aux téléconsultations, facilitant ainsi l’accès aux soins et réduisant les délais d’attente pour les patients.

La digitalisation et l’émergence des pharmacies connectées

Le numérique transforme profondément l’organisation des officines et plusieurs innovations participent à cette mutation. L’automatisation et l’intelligence artificielle permettent d’optimiser la gestion des stocks et la délivrance des médicaments en réduisant les erreurs et en améliorant la productivité. Le développement de plateformes sécurisées favorise un meilleur suivi des traitements et une communication fluide entre les professionnels de santé, renforçant ainsi la coordination des soins et l’accompagnement des patients à distance.

L’évolution du modèle économique des pharmacies

La pression économique exercée sur le secteur impose une transformation des modèles économiques des officines. Le développement des groupements de pharmacies permet aux titulaires de mutualiser leurs ressources, de négocier de meilleures conditions d’achat et d’optimiser leur rentabilité. Pour compenser la baisse des marges sur les médicaments remboursés, de nombreuses pharmacies élargissent leur gamme de produits en proposant des références spécifiques en parapharmacie, cosmétique et produits naturels. Par ailleurs, certaines réformes et dispositifs d’aides soutiennent les pharmacies situées en zones rurales ou à faible densité médicale, garantissant ainsi la continuité de l’accès aux soins pour les populations éloignées des centres de santé.

Les mutations du cadre réglementaire

Les évolutions législatives et réglementaires impactent directement le fonctionnement des pharmacies et redéfinissent leur périmètre d’action. L’extension des compétences du pharmacien, notamment en matière de vaccination et de prescription sous protocole, lui permet de jouer un rôle élargi dans le parcours de soins et d’intervenir plus activement dans la prévention et le dépistage. L’encadrement de la vente en ligne continue d’évoluer pour garantir la sécurité des patients tout en accompagnant la transition numérique du secteur. Enfin, la diversification des sources de revenus devient une nécessité pour assurer la pérennité des officines face aux nouvelles exigences du marché, obligeant ainsi les pharmaciens à repenser leur modèle économique et leur stratégie commerciale.

L’importance de la formation et de l’adaptation des compétences

Le pharmacien de demain devra maîtriser de nouvelles compétences pour s’adapter aux transformations du secteur. La formation continue sur les innovations médicales et technologiques est essentielle pour garantir une prise en charge optimale des patients et assurer un conseil pertinent en officine. L’optimisation de la rentabilité et le développement de la relation client deviennent des enjeux majeurs pour pérenniser l’activité, nécessitant des compétences accrues en gestion et en marketing. Enfin, la pharmacie se positionne de plus en plus comme un acteur central de l’éducation thérapeutique et de la prévention, notamment à travers des campagnes de sensibilisation et des actions de santé publique ciblées.

Innover et s’adapter : les clés du succès pour les pharmacies de demain

L’avenir des pharmacies repose sur leur capacité à innover et à s’adapter aux mutations économiques, technologiques et réglementaires. En diversifiant leurs services, en intégrant les outils numériques et en renforçant leur rôle de proximité, les officines peuvent continuer à jouer un rôle clé dans le système de santé. La transformation du métier de pharmacien ouvre la voie à de nouvelles opportunités, mais impose également une adaptation constante pour répondre aux défis de demain.

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L’achat ou la vente d’une pharmacie repose sur une étape importante : la valorisation de l’officine. Cette évaluation permet de fixer un prix juste et cohérent avec le marché, en tenant compte de nombreux critères. Déterminer la valeur d’une pharmacie est un exercice complexe qui nécessite une approche rigoureuse et une analyse approfondie. Parmi les méthodes couramment utilisées, on retrouve la valorisation basée sur l’Excédent Brut d’Exploitation (EBE), celle fondée sur la Marge Brute Globale (MBG) et la méthode plus ancienne basée sur le pourcentage du chiffre d’affaires hors taxes (CA HT).

La méthode du pourcentage du CA HT

Historiquement, la valorisation d’une pharmacie reposait sur un pourcentage du chiffre d’affaires hors taxes. En général, le prix de vente d’une officine représentait entre 80 % et 100 % du CA HT, voire plus dans certaines régions attractives. Cependant, cette méthode est de moins en moins pertinente. L’évolution du marché et la présence croissante des médicaments onéreux à très faible marge (tranche T5) faussent la rentabilité réelle des officines. En effet, ces produits augmentent artificiellement le CA sans pour autant améliorer la rentabilité, ce qui rend cette approche obsolète dans de nombreux cas.

La méthode de l’EBE

L’EBE est un indicateur clé qui reflète la rentabilité réelle de l’officine. Il permet d’estimer la capacité de l’entreprise à générer des bénéfices avant la prise en compte des charges financières et fiscales. En fonction du marché et de la typologie de l’officine, un coefficient multiplicateur, généralement compris entre 5 et 7 fois l’EBE, est appliqué pour déterminer la valeur de l’entreprise. Cette méthode est aujourd’hui privilégiée par les experts en transactions officinales car elle offre une vision plus réaliste de la rentabilité de l’officine et de sa capacité à rembourser un emprunt en cas de reprise.

La méthode de la Marge Brute Globale

Une autre méthode consiste à évaluer la pharmacie en fonction de sa Marge Brute Globale (MBG). Cette approche est particulièrement pertinente lorsque la structure du chiffre d’affaires est influencée par des médicaments onéreux à faible marge. Contrairement à la simple prise en compte du CA HT, la MBG donne une meilleure idée des bénéfices réellement générés par l’activité de l’officine. En appliquant un coefficient de valorisation, généralement situé entre 2,5 et 3 fois la MBG, on obtient une estimation plus fidèle à la rentabilité réelle de l’officine. Cette approche permet également de mieux anticiper l’évolution financière de la pharmacie après l’acquisition.

Comprendre la valorisation d’une officine pour une transaction réussie

La valorisation d’une pharmacie repose sur plusieurs méthodes qui permettent d’évaluer sa rentabilité et son potentiel de croissance. Si la méthode basée sur le pourcentage du CA HT a longtemps été utilisée, elle est désormais moins pertinente en raison de l’impact des produits chers et de la complexité du marché actuel. L’EBE et la Marge Brute Globale offrent une approche plus précise et adaptée aux réalités économiques des officines. Une évaluation rigoureuse et une analyse approfondie de l’environnement de l’officine sont essentielles pour garantir une transaction équitable et réussie.

Le Cabinet Conseil Riberry apporte depuis près de 30 ans une connaissance du marché et une expertise professionnelle irremplaçable.

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Le marché des pharmacies en France a connu ces dernières années de profondes mutations, influencé par des facteurs économiques, réglementaires et sociétaux. Entre l’impact de la crise sanitaire, les évolutions législatives et les nouvelles attentes des patients, le paysage officinal s’adapte continuellement. Ce contenu explore les principales tendances et perspectives du secteur.

Le marché des pharmacies : un marché en mutation

Les pharmacies ont longtemps été perçues comme des commerces de proximité centrés sur la distribution des médicaments. Cependant, plusieurs changements ont modifié leur fonctionnement. L’arrivée des ordonnances électroniques et le développement de la téléconsultation ont transformé la manière dont les patients accèdent aux soins. Le nombre de pharmacies tend à diminuer avec une concentration des officines dans les zones urbaines et la disparition progressive des plus petites structures. De plus, les pharmacies développent de nouveaux services tels que la vaccination, les tests de diagnostic rapide (TROD) et le conseil personnalisé en micronutrition.

Impact de la crise sanitaire sur le secteur de la pharmacie

La pandémie de COVID-19 a joué un rôle déterminant dans l’évolution des officines. Les ventes de masques, gels hydroalcooliques et tests ont temporairement boosté les revenus des pharmacies. Face à la saturation des cabinets médicaux, les pharmaciens ont pris un rôle plus actif dans l’orientation des patients. Par ailleurs, les difficultés d’accès à certains médicaments ont mis en lumière la nécessité d’une meilleure gestion des stocks et des circuits de distribution.

La réglementation et ses effets

Le cadre réglementaire encadrant les pharmacies évolue constamment, avec des mesures destinées à moderniser le secteur tout en préservant l’accès aux soins. L’augmentation des coûts d’installation et de fonctionnement pousse de plus en plus de jeunes pharmaciens à s’associer pour acheter une pharmacie plutôt qu’à reprendre seuls une officine. De plus, la vaccination contre la grippe et la COVID-19 en pharmacie a été pérennisée, renforçant ainsi le rôle des officines dans la prévention.

Tendances économiques du marché des officines

L’économie des pharmacies est directement impactée par plusieurs facteurs. La régulation des prix par l’État influe sur la marge des pharmaciens,. Le coût des locaux commerciaux reste un enjeu majeur pour l’implantation et la transmission des pharmacies.

Les tendances futures du secteur pharmaceutique

L’avenir du secteur repose sur plusieurs axes de développement. Les outils numériques comme les dossiers patients informatisés vont continuer à se développer. Les pharmaciens pourraient être appelés à jouer un rôle accru dans la prévention et la prise en charge des maladies chroniques. La tendance vers des produits plus naturels et le conseil en bien-être se confirme également.

Vers une transformation continue

Le marché des pharmacies en France est en constante évolution, avec des défis mais aussi des opportunités. Face à un environnement réglementaire en mutation et à de nouvelles exigences, les pharmaciens doivent s’adapter pour rester pertinents dans un paysage de la santé en plein bouleversement.

Infographie : l’évolution du secteur pharmaceutique

Le Cabinet Conseil RIBERRY était présent à la Convention Nationale du groupement de pharmacies OBJECTIF PHARMA qui s’est tenue les 15 et 16 juin dernier à Chantilly.

Matthieu RIBERRY a participé à une table ronde sur le thème : « Etre un chef d’entreprise bien entouré ».

Retrouvez nos interventions sur le site de la webradio PHARMARADIO

Le Cabinet Conseil RIBERRY était présent au Forum des Carrières de l’ABEP (Association Bourguignonnes des Etudiants en Pharmacie) le mercredi 4 octobre 2017. L’occasion de nombreux et fructueux échanges avec les étudiants en pharmacie de l’Université de Dijon : cession, acquisition, transfert, regroupement d’officines de pharmacie.

Patrice RIBERRY en compagnie de Thomas DEBIEF, président de l’ABEP

Noémie BALSAN rejoint le Cabinet Conseil RIBERRY en tant que Responsable de secteur. Elle a en charge les départements Drôme (26), Isère (38) et Ardèche (07)

Elle vous accompagne pour tous vos projets : cession – acquisition de pharmacie, regroupement, transferts, association et toute autre mission de conseil.

Noémie BALSAN est joignable au 06.22.78.12.82 – noemie.balsan@riberry-transactions.com

Lors du congrès de l’ANEPF à Grenoble en juin 2017, le cabinet conseil RIBERRY a été très heureux de remettre le lot (3 bouteilles de champagne) gagné par tirage au sort par Nicolas BONNET (vice-président partenariat ANEPF 2016-2017) au Salon Pharmagora 2017

La Cabinet Conseil RIBERRY, membre du réseau PSP PHARMA, sera présent :

• 10èmes rencontres de l’Officine à Paris les 4, 5 et 6 mars 2017 – Palais des Congrès de Paris – stand 21
• Salon PHARMAGORA PLUS à Paris les 11 et 12 mars 2017 – Porte de Versailles – Hall 3 stand PG80

Nous vous attendons nombreux et seront à votre disposition pour évoquer toute question relative au marché de l’officine.

 

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